vendredi 29 avril 2011

C'est la saison qui commence !!



Manuel 50' 8.0 flash latéral manuel 1/2 dans parapluie à 1m
2eme photo flash principal -0.5

dimanche 17 avril 2011


samedi 16 avril 2011

Zoo Anvers

samedi 9 avril 2011

Jumping Kelly







vendredi 8 avril 2011

Enfin

Une mère de famille risque une peine de prison pour n'avoir pas tenté de rétablir le lien des enfants à leur père.

Ce qui est cassé l'est malheureusement irrémédiablement.

Félicitations (?) à ceux et celles qui ont, me concernant, organisé et facilité la même chose.


Que leur en reste-t-il ?

Croient-ils que cela valait le coup d'aider à casser la relation que WE après WE (1/2) nous avions tissé ?

Qu'est-ce qui était à ce point pourri dans leurs têtes pour avoir eu envie de cela ?

Seront-ils aux cotés de celles qu'elles ont durablement influencées quand elles chercheront une aide ?


Pensent-ils vraiment m'avoir privé d'être un papa aimé ?
Imaginent-ils sérieusement avoir desservi ma vie actuelle de famille ?

Stupide, c'est tout le contraire qui est arrivé.

L'encouragement tacite que certains ont manifesté par leur présence inopportune représente une marque évidente de complicité dans ce gâchis.

Remember : matter of it's all dark !!

Life goes one ;-)) FuckU

L'article, si le lien ne fonctionne plus.

Une petite fille dort dans les bras de son père, la tête renversée vers l'arrière. Son petit frère grimpe sur le banc et s'agrippe au dossier. En pointillés sur les bancs du tribunal correctionnel, des femmes et des hommes guettent le moment où leur tour viendra de s'expliquer. Les uns sont poursuivis pour abandon de famille, les autres pour non-représentation d'enfants, autant de revanches de querelles conjugales mal digérées.

Madame A. est appelée à la barre. D'apparence sévère, cette mère de famille au visage émacié contraste avec l'allure hésitante et meurtrie du père de leurs deux enfants de 12 et 14 ans. Il a déposé une plainte pour avoir été empêché de voir ses enfants pendant plus d'un an. C'est pourtant à lui que la résidence des enfants a été confiée après que leur mère a entravé son droit de visite.

"Paul et Didier ne vont plus chez leur père, c'est leur choix. Ils ont honte de leur père, ils disent qu'il est sale, se défend la mère. Il ne cesse de pleurer devant ses enfants, il leur reproche de ne pas l'aimer."

Face à ce rejet que la présidente tente d'élucider, une rencontre périodique dans un centre médiatisé a été mise en place. Sans succès.

"Les enfants refusent d'y aller, assure la mère.

- Qu'est-ce que vous leur dites pour les convaincre ? demande la présidente. À leur âge, ils n'ont pas à choisir !

- J'ai été claire avec eux, ils ne veulent rien savoir.

- D'où vient cette hostilité des enfants ?

- Ils ont un mal-être..."

La présidente demande au père de se lever. Il livre une version différente.

"Contrairement à ce qu'elle dit, elle ne fait rien. Elle me dévalorise devant les enfants.

- Un psychologue vous aide-t-il à reprendre le lien ?

- Oui, mais ils ne franchissent pas la porte du centre. D'ailleurs, on a arrêté, car cela ne sert à rien.

- Donc, d'après vous, c'est leur mère qui est à l'origine de ce blocage ?

- Oui, le fait d'être insulté, dévalorisé, cela n'arrange rien. J'ai besoin de les voir, cela fait partie de leur équilibre."

En droit, le refus d'un enfant de voir l'un de ses parents n'exonère pas l'autre du devoir de lui présenter cet enfant. Déjà condamnée par le tribunal correctionnel à 10 mois de prison assortis d'un sursis avec mise à l'épreuve pour "non-représentation d'enfants", madame A. risque, cette fois, une peine ferme.

"Vous avez vu le juge de l'application des peines dans le cadre de votre sursis avec mise à l'épreuve ?

- Oui, une fois par mois.

- Vous a-t-il demandé de justifier de vos efforts pour rétablir le contact ?

- Oui, je lui en ai donné la preuve

- Vous savez que ce sursis peut être révoqué. Vous avez 10 mois au-dessus de votre tête, plus la peine qui sera prononcée aujourd'hui...

Réticents à l'idée de voir leur père, les enfants refusent aussi de rencontrer leurs demi-frères et demi-soeurs ainsi que leurs grands-parents paternels.

Aussi douloureux soit son manque affectif, le père ne réclame aucune indemnité.

"Madame A. devient coutumière de ce tribunal, note la procureur. Et sans vraiment d'explication valable sur ce qui lui est reproché. Si elle était bienveillante, les enfants ne se comporteraient pas de cette manière. Les relations père/fils sont nécessaires à l'équilibre des jeunes garçons. Rien ne montre que madame A. a mis ses enfants en mesure d'accepter de renouer les liens.".= Elle propose une peine de six mois de prison dont trois assortis d'un sursis avec mise à l'épreuve pendant deux ans avec l'obligation de présenter les enfants à leur père.

"Il ne faut pas laisser les enfants s'enfermer dans une hostilité à l'égard de leur père, admet l'avocate de la défense qui précise avoir fait la connaissance de sa cliente la veille. C'est un fait : les enfants refusent obstinément de voir leur père. Mais ce n'est pas en envoyant leur mère en prison qu'on fera comprendre aux enfants qu'ils doivent voir leur père ! Il n'est pas logique de faire supporter cette responsabilité sur madame A, qui avait, à l'origine, obtenu la résidence principale des enfants. Elle a démontré, en conduisant ses enfants au centre médiatisé, qu'elle s'attache à respecter la décision. Elle ne va pas employer la violence pour contraindre ses enfants à voir leur père ! En conclusion, je ne pense pas qu'une peine de prison apporte une solution à ce problème qui est essentiellement une affaire de sentiments."

Six mois de prison assortis d'un sursis avec mise à l'épreuve pendant deux ans seront infligés à la prévenue, qui accueille froidement la décision. Même si elle sait que la victoire a déjà changé de camp.

vendredi 1 avril 2011

Horse Ball